• Dans les circonstances exceptionnelles que nous connaissons, le ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse n’est pas en mesure de garantir, à la fois en termes sanitaires et logistiques (volume d’impression des sujets représentant plus de 100 millions de pages, etc.), la bonne tenue des épreuves écrites dans le calendrier initial. Afin de ne pas faire peser sur les élèves, leurs familles et les professeurs un aléa source d’inquiétudes, il a donc été décidé d’annuler ces épreuves. L’organisation de l’épreuve orale de français, qui était compatible avec les règles sanitaires, a également été annulée. Le ministère n’a pas souhaité que l’inégale préparation des candidats ne pénalise les élèves..